Du 3 septembre 2015 au 3 octobre 2015
À retrouver à L’ARRIVAGE
6 rue Larivey - 10000 TROYES -
FRANCE
www.larrivage.fr
+33 (0)6 48 91 56 74
37ème ARRIVAGE
L’ARRIVAGE
Du 3 septembre au 3 octobre 2015
TROYES (10)
37ème ARRIVAGE
Pour ce 37ème ARRIVAGE
Peintre et Photographe GERALDINE FASENTIEUX, voyageuse dont le territoire d’inspiration est avant tout les USA.
Le travail de DANIELA LORINI, s’est toujours inspiré de la nature, avec laquelle elle a un lien étroit. L’artiste s’intéresse à la recherche des formes microscopiques, des textures, des couleurs et des sujets qui provoquent une réflexion sur les problèmes environnementaux de notre planète.
«Cela part d’une rencontre avec un bout de papier, un morceau de tissu, un fragment de chose libéré de toute fonction, mais chargé sensitivement par sa couleur, sa texture et sa forme particulière que LAURENCE MALVAL colle sur la page blanche…Comme on épingle le souvenir d’un papillon, comme minuscule trace dont on ne sait quoi encore, comme témoignage aussi labile que précieux d’une mystérieuse réalité enfouie dans les tréfonds de soi-même… extrait d’un texte de Pierre Souchaud
Je conçois des boîtes, je les éclaire et les fais vivre avec mes peintures et toutes sortes d’autres outils qui me sont propres. Ensuite je les photographie et m’en inspire pour réaliser d’autres peintures. Ce sont des mondes dans mes mondes, un passage de portes successives… dit CHRISTINE-MARIE NOBRE – CHRITIN
Le sculpteur FRANCOIS PUZIO présente une « sorte de série qui n’a pas de vocation à comporter un thème… »
LYDIE THONNERIEUX créé des personnages mélancoliques et l’enfance est la matrice de mon travail. Je suis intéressée par les ecchymoses qui remplissent chaque vie, sur les liens que l’on tisse avec son passé et avec les siens. Et c’est par le prisme de l’enfance et de l’adolescence que j’essaye de sonder l’ambiguité et les paradoxes de l’âme humaine.
Pour OLIVIER WISSENBERG l’acte de dessiner n’est selon moi que la conséquence d’un état latent conduisant impulsivement au besoin de s’exprimer. Je le ressens comme une démarche intime et égoïste, proche du sentiment amoureux. Il m’offre cette grande liberté de réaliser des oeuvres en marge de l’image attendue et confortable.