Lila BETTIN
Bio
Le fil rouge de Lila Bettin…
Peindre. Un voyage intérieur nourri par ses émotions, ses rencontres, sa mémoire, son instinct, son imagination. La sincérité et l’intimité s’installent devant sa toile. La réalité ne l’intéresse pas.
Les pinceaux, les couteaux dansent leur joie d’exprimer les sensations les plus douces, les plus patientes, pour se laisser guider vers une métaphore du réel. La gestation prend son temps.
Et soudain voilà révélée la création, une trace. Moment délicieux de solitude avant d’offrir aux regards ce lien entre son univers et le visiteur qui s’attarde.
En quelque mots, son premier choc artistique…
Les tableaux de Joan Mitchell, Cy Twombly et Turner (lorsqu’elle était enfant).
Sa rencontre avec la peinture de Christine Trouillet, à la Galerie de Françoise Souchaud et la peinture de Eric Roux Fontaine.
Le portrait chinois de Lila Bettin
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : La grande vallée de Joan Mitchell XIV – For a Little while
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le vert céladon.
Si vous étiez un pays, vous seriez : La Grèce.
Si vous étiez une musique, vous seriez : Clair de lune de Debussy.
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« Je ne peins pas ce que je vois, je peins ce que je pense » Picasso.