L’art “contemporain” comme déni de la réalité de l’art vivant… comme mensonge d’État… et comme produit phare de l’exception culturelle lango-mitterrandienne
L’existence de cette création vivante qui représente 90% de la création actuelle, libre et indépendante de toute idéologie, chargée d’un vrai contenu, est absolument insupportable pour ces adeptes de l’art du rien, du presque rien, de la vacuité bavarde, de la minimalité distinguée, que sont les bureaucrates, les spéculateurs et les culturolâtres middle-class en recherche de signes d’appartenance à la classe supérieure.
C’est tout bête, mais c’est comme ça qu’elle marche, ici comme ailleurs, cette stratégie d’invisibilisation du réel, au service d’une idéologie de type totalitaire idiote utile du grand marché spéculatif.
L’art chargé d’humanité, de senti et de vécu, est donc déclaré par tous ces gens “de la haute”, vulgaire, outrancier, indécent, nauséabond, populiste, réactionnaire, voire fachiste… et surtout non-contemporain.
Cet art, chargé d’une sorte de vérité insoutenable, est donc de plus en plus exclu des revues d’art “comme il faut sur papier glacé”. Il est totalement absent des collections de FRAC notamment et de la tête les experts lobotomisés de l’appareil ministériel, de ces centaines de docteurs Mengelé, tortionnaires de l’art, chargés des “recherches et expérimentations” les plus cruelles sur celui-ci.
Les artistes se demandent pendant combien de temps encore cette criminelle imposture va pouvoir durer… Comment et par qui nous allons pouvoir en être débarrassés ?