Pascale PARREIN
Bio
Le fil rouge de Pascale Parrein…
Pascale ne pense pas pouvoir définir ce qu’elle souhaite transmettre dans ses oeuvres. Elle y met ce qui la touche. C’est une pratique assez égocentrique finalement. Néanmoins elle essaie de laisser assez de place pour celui qui vient à la rencontre de l’œuvre : afin qu’il puisse y mettre ce qui lui appartient. Elle aime l’ambivalence d’une œuvre permettant qu’il n’y ait pas qu’une seule réalité à lui attacher.
Somme toute, ceci est dans la profonde nature des choses.
Il semble que la vie est constituée d’éléments plus ou moins essentiels, comme des sortes de briques qui construisent un édifice plus ou moins complexe et plus ou moins solide. Dans son édifice, il y a pas mal de briques.
L’art constitue l’une d’elles, appartenant probablement aux fondations : solide et essentielle. Sans elle, l’édifice ne tiendrait pas. Sans les autres, il n’y aurait pas d’édifice.
Elle aime regarder, elle aime sentir, elle aime ressentir, elle aime partager. Mais aussi elle aime apprendre de nouveaux concepts, elle aime comprendre des processus et des significations. Pascale pense que l’inspiration vient de cette somme infinie de choses diverses qui la nourrissent quotidiennement.
Elle vient aussi des heures laborieuses à mettre toutes ces choses ensemble. Ces heures silencieuses à essayer, à réessayer, à éliminer….
« Il faut rater, faillir. Il faut s’y remettre et rater mieux. » Samuel Beckett
Le portrait chinois de Pascale Parrein
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le bleu même si cela ne se voit pas dans mes oeuvres.
Si vous étiez un pays, vous seriez : La France probablement. Même si je suis souvent partie, je suis toujours revenue ! Il y a tant de diversité dans ce pays. C’est un monde à lui seul.
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« Peut être que c’est le trait sensible et noir fendant l’espace du papier blanc que j’aime, peut être que c’est la brume qui finalement l’enveloppe. Peut être que c’est le silence qui suit tout cela : le rien et le tout. »