Élisa COSSONNET
Bio
Le fil rouge d’Élisa Cossonnet…
C’est dans la tâche, la salissure, le ratage, le désordre qu’Élisa Cossonnet ordonne et affine son essence. Il n’y a pas d’explication proprement dite et le résultat ne découle d’aucune pensée mentale construite. C’est dans la trainée d’une couleur ou d’une tâche qu’est la vérité. À partir de ce désordre se lit la vérité des choses. Tout est déjà là.
Son travail s’ouvre au monde qui l’entoure. Une ouverture vers la nature et ses éléments.
L’abstrait accompagne ses aspirations spirituelles et ses réflexions sur la terre Mère. Son atelier isolé en pleine Garrigues. Elle puise son inspiration dans les grands espaces qu’elle aime profondément, qu’elle observe, qu’elle hume, qu’elle arpente.
Le regard loin, elle cherche la lumière intérieure. Celle qui ouvre l’âme et fait vibrer le silence. C’est dans la gratitude et l’amour qu’elle peut peindre.
Sa quête est le sensible.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Depuis toute petite le dessin lui permettait de s’évader et rester dans son monde imaginaire.
Son tendre père a toujours admiré ses dessins et mis en avant sa création. Il lui a également ouvert au monde de la peinture et l’a accompagné dès son enfance dans les musées et expositions.
Elle eu un choc devant les toiles d’Egon Schiele à 10 ans, ce trait acide et si pertinent l’a boulversé.
Elle compris à quel point la peinture était importante pour exprimer ses émotions.
Le portrait chinois d’Élisa Cossonnet
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Sensible.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le vert.
Si vous étiez un pays, vous seriez : L’Inde.
Si vous étiez une musique, vous seriez : Show de Beth Gibbons.
En permanence :
- Melting Art Gallery – Lille
- Galerie de l’ancien courrier – Montpellier
- Unpolished design club – Uzès
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