Elisabeth GORE
Bio
Le fil rouge d’Elisabeth Gore…
Sa démarche artistique trouve son chemin dans les signes, les traces et indices à peine effacés, explorant des territoires symboliques qui incitent à réfléchir sur l’espace de l’entre-deux. Nous faisons partie d’un tout, mais comment aborder les frontières et leurs limites ? Ce sont des espaces propices au contact, à la découverte et à l’enrichissement mutuel.
Dans cette cartographie, comment trouver sa place et son histoire personnelle au sein de l’histoire collective, alors que des lignes, visibles ou invisibles, nous contraignent ?
Si sa démarche personnelle est poétique, elle résonne aussi comme un écho de sa perception du monde extérieur.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Quand elle était petite, elle a vu un grand tableau d’Eugène Leroy chez un particulier. Elle ne se souvient plus du titre de l’œuvre, mais l’émotion qu’elle a ressentie reste gravée dans sa mémoire.
Le portrait chinois d’Elisabeth Gore
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Une oeuvre de Cy Twombly.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le vert olive ou le vert sauge.
Si vous étiez un pays, vous seriez : L’Islande, pour ses paysages.
Si vous étiez un livre, vous seriez : « D’un cheval à l’autre » de Bartabas, un texte empreint de passion et de poésie.
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En permanence
- Galerie Sophie Lévêque – Tôt ou t’Art – Verdun (55)
- Galerie Racont’Art – Lyon (69)
- Galerie L’Âne Bleu – Marciac (32)
« L’œuvre est une intimité qui respire à l’air libre. Ici, l’aventure picturale est enclose dans les haies de l’intime et touche au terme d’une ascension à la sensibilité universelle. Il y a un tour du monde, un tour du temps au sein de l’être. L’infime et l’immense font poème commun. » Denys-Louis Colaux, écrivain.