Elise GEOFFRION
Bio
Le fil rouge d’Elise Geoffrion…
« Marcheuse. Cueilleuse.
Mon inspiration est d’abord respiration.
Un souffle vital lié à la Nature.
Rêveuse.
L’onirique pour tenter de transcender le réel.
Dans ma bulle d’atelier, tenter de créer des petits bouts d’humanité.
Joyeuse.
Savourer l’absurdité et la beauté de cette chienne de vie.
Cultiver la joie comme acte de résistance à la folie des Hommes.
Curieuse.
Chercher.
Chercher la poésie.
Chercher dans ces fêlures qui laissent passer la lumière. »
La démarche artistique d’Elise Geoffrion…
« Il était une fois…
Il était toujours.
Le besoin de poésie, d’humour.
Une quête incessante d’onirisme pour transcender le réel.
Une exploration de l’idée de transmission.
Une recherche autour de l’idée de la mémoire.
Une inspiration viscéralement liée à la Nature, aux Natures : des sculptures minérales, végétales, organiques.
Un mélange de matières pour tromper les sens.
Un travail de sculpture axé autour du papier mâché et de la céramique : un grès blanc avec un four d’enfumage.
Des peaux d’âmes habillées ensuite d’amadouviers, de plumes, de bois tortueux et autres pierres cueillis ici et ailleurs…
Au cœur du Sensible, des figures anthropomorphes ou de fantasques bestioles pour raconter des histoires.
Dans le mouvement parfois absurde du monde, sculpter pour semer des Rêves… »
En quelques mots, son premier choc artistique…
La tête dans les nuages et dans les livres, Élise découvre, vers 13/14 ans, l’écriture foisonnante de Boris Vian.
Tout est choc : sa plume tout en poésie, la truculence de ses personnages, ses néologismes savoureux, ses chansons libertaires…
Son goût pour l’absurde se régale du Collège de Pataphysique et de ses illustres membres, Queneau, Ernst, Dubuffet…
« L’Automne à Pékin » la grandit.
« Je voudrais pas crever » la rend plus vivante encore…
Avec Boris Vian, elle prend conscience de son besoin de créer.
Le portrait chinois d’Elise Geoffrion
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Une oeuvre inachevée.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : La couleur des sentiments.
Si vous étiez un pays, vous seriez : Le pays de l’Imaginaire.
Si vous étiez un livre ou une musique, vous seriez : Le Petit Prince ; John Coltrane, Pink Floyd, Prince, Camille…
En permanence :
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« Mes fleurs de peau éclosent en un Art Singulier.
Les tripes à l’air, à l’aire libre.
Sculpter pour semer des Rêves »
