Isabelle BRAEMER
Bio
Le fil rouge d’Isabelle Braemer…
L’artiste s’inspire principalement de la nature, des paysages… Elle se promène et se laisse envahir par une végétation enveloppante. Elle part de photos et travaille ensuite en atelier.
Les montagnes et les sous-bois lui offrent une inspiration sans fin, où chaque arbre et feuille qui s’emmêlent de façon complexe ouvrent des possibilités graphiques qui provoquent chez elle une réelle émotion.
La nature est recréée ; elle s’éloigne de son apparence première pour être réinventée et amplifiée dans sa complexité et sa beauté.
Isabelle utilise d’autres médiums que la peinture, le dessin et la gravure : elle peut se pencher sur les personnages et les images qui touchent l’actualité.
En quelques mots, son premier choc artistique…
L’exposition de Marc Desgrandchamps, ses immenses toiles où des personnages se promènent sur des décors désertiques…
Mais également Peter Doig, Matisse, Monet, Marquet et les gravures de Goya.
Le portrait chinois d’Isabelle Braemer
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Les Nymphéas de Monnet.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Le Vert.
Si vous étiez un pays, vous seriez : La France.
Si vous étiez un livre, vous seriez : L’amour et les Forêts d’Eric Reinhardt.
En permanence
- Galerie Jane Griffith – Val d’Isère (73)
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« La lumière avait fait de toute cette ombre soudain vivante quelque chose comme un masque qui devient visage. Partout l’or, l’écarlate, des avalanches de rubis, un ruissellement de flamme. On eu dit que l’aurore avait brusquement mis le feu à ce monde de ténèbres… » Victor Hugo, Le promontoire du songe.