Plamena ZHEKOVA
Bio
Le fil rouge de Plamena Zhekova…
Ce qui l’inspire, c’est l’écho entre deux univers très éloignés. Elle relève le commun entre deux différences, le visible et le spirituel, et les fait communiquer. Un objet du quotidien arrive à déclencher en son esprit des associations improbables. L’association qu’elle arrive à « dompter » devient un tableau.
L’œuvre en soi est la toute dernière étape d’un processus qui dure parfois des mois ou même des années. Son travail d’artiste commence par un déclic, par une rêverie, par une vision et consiste à rentrer sous la surface des choses. Car même la banalité d’un objet quelconque renferme une complexité vertigineuse, si seulement on prenait le temps de l’observer à travers le prisme de l’imagination.
En quelques mots, son premier choc artistique…
La toute première fois où Plamena a été confrontée au pouvoir subjuguant de l’art, c’était sans aucun doute les livres d’enfant que sa mère avait pour habitude de lui offrir. Elle a grandi avec les plus belles illustrations imprimées. Voici quelques noms qui ont pu marquer son imaginaire d’enfant et d’adulte : Gustave Doré, Edmund Dulac, Arthur Rackham, les frères Brizzi et Iassen Ghiuselev.
Elle reste toujours aussi admirative devant un Léonard de Vinci.
Le portrait chinois de Plamena Zhekova
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : L’œuvre du Créateur de l’univers.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Une couleur encore inconnue.
Si vous étiez un pays, vous seriez : La Bulgarie.
Si vous étiez un livre, vous seriez : « Le Cantique des cantiques ». Subtile poésie.
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