Rini FERHI
Bio
Le fil rouge de Rini Ferhi…
Enfant assez solitaire, Rini a toujours aimé dessiner et se rendait compte qu’il se passait quelque chose de spécial. Lorsque les personnes regardaient ses dessins spontanés, elle avait l’impression qu’elles devenaient plus attentives, plus attentionnées envers elle, ce qui lui donnait le sentiment d’être davantage appréciée et aimée.
Plus tard, elle a suivi une école des Beaux-Arts pour devenir styliste. Elle dessinait beaucoup, principalement de jolis croquis pour ses créations. Cependant, le résultat final la décevait souvent, ce qui l’a poussée à vouloir réaliser de vrais dessins, plus forts et expressifs. Elle a alors choisi de casser cette recherche du «joli» en travaillant avec sa main gauche, bien qu’elle soit droitière. Ce fut un choc : le résultat était à la fois magnifique et incontrôlable.
C’est à partir de là qu’elle a commencé à exposer ses œuvres.
Avec le temps, sa main gauche est devenue adroite, faisant d’elle une ambidextre. Toutefois, elle continue de chercher à contrecarrer, à créer une tension dans son travail, car pour elle, le dessin ne doit surtout pas être facile.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Les Oeuvres de Lydie Arickx.
Ses oeuvres monumentales, ses sculptures, ses dessins sur du papier de verre et surtout son travail à l’institut de l’Anatomie de l’U.F.R Biomédicale des Saints-Pères dans les salles de dissection de la Faculté Oeuvres Impressionnantes.
Le portrait chinois de Rini Ferhi
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Une Madone de Foujita.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : La turquoise.
Si vous étiez un pays, vous seriez : l’Utopia : sans frontières, qui n’existe pas.
Si vous étiez une musique, vous seriez : « Je te veux » Erik Satie.
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« Ta mission:
Garder l’énergie de l’oeil,
sur les autres,
pour les aider ! »
Message d’un couple d’alchimistes.
