Humeurs - Aralya

On en parle

Faudra-t-il culpabiliser aussi les consommateurs d’art « contemporain » ? Quand on voit le côté délirant des textes des critiques d’art spécialisés en art contemporain...

Entre l’obscurité et l’éclairage public d’origine policière Voici un texte concernant le travail que le plasticien libanais Haig Aivazian* a réalisé pendant sa résidence logé-nourri-blanchi-soigné – rémunéré à la Villa Médicis aux frais du contribuable français : « Son projet de résidence s’intéresse à la dynamique entre l’obscurité et la lumière artificielle, un puissant faisceau qui façonne et reflète les transactions de pouvoir et […]

Un plasticien qui « abolit la séparation entre art et travail » L’action même de créer, de « travailler », devient aussi importante que le « produit » de ce travail.

Le tas comme symptôme de la contemporainose en art Signe de l’effondrement psycho-mental de l’entre-soi institutionnel.

L’art contemporain woko-responsable, est-il vraiment durable ? L’excrétion boursoufflée d’un entre-soi institutionnel.

Les galeries d’art vont-elles disparaître ? Sans galeries découvreuses aujourd’hui, il n’y aura pas de galeries récolteuses demain...

Un travail monstrueusement séduisant Aussi beau, délicat et lumineux que pétri de brume et de complexes.

« Une tension entre la représentation du corps et son absence » La sensualité et la tension se dessinent dans la rencontre des matériaux.

Vers un nouveau réseau de reconnaissance de la création vivante Une "relocalisation heureuse" de l’art… et sa réhumanisation.

Osez l’art non-contemporain d’aujourd’hui ! Détester cet art sans art, anti-art, élitaire...