Question stupide, bien évidemment…La création artistique authentique ne pouvant être liée à une quelconque appartenance politique, socio-cul, ethnique, financière, religieuse ou sexuelle… et ceci au nom d’une liberté essentielle ou consubtantielle.
Mais bon, ça c’est dans l’idéal… Car on voit très souvent l’art se mettre au service ou enfourcher des causes extérieures à lui, soit par obligation, soit par putasserie, mais le plus souvent pour compenser une absence de contenu vraiment artistique… Tout cela est bien connu
Et il faut reconnaître qu’on a bien été servi en matière d’ »art engagé », depuis les débuts des années 80 à la faveur de l’avènement de la « lumière enfin revenue » du progressisme culturel déconstructif conceptualo-lango-duchampiste et j’en passe. Avec l’avènement du subversivisme rebelle et insoumis, subventionnable et financiarisable…qui plaît donc autant à la bien-pensance gauchère, qu’à la mal-pensance droitière des réseaux spéculatifs…. Un embrouillaminis politico-artistique où l’on voit la gauche devenir l’idiote utile de la droite et vice-versa pour le plus grand préjudice de l’art proprement dit et honnêtement fait.
Moi je pense que 80 % au moins de la volaille culturelle dédiée à l’art dit contemporain est d’obédience gauchiardière (gauchiasse-caviar comme disent certains mal-embouchés).
C’est une hypothèse perso que les sociologues de l’art ou d’ailleurs devraient s’employer à vérifier par des enquêtes, des statistiques et des études sérieuses… ce qu’ils ne font pas, compte tenu des risques qu’ils courent à faire ça pour leur carrière universitaire… au même titre d’ailleurs que certaines statistiques ethniques totalement tabou au royaume des Hautes Etudes en Sciences Sociales…
« La droite ne s’intéresse pas à la culture » a osé dire je ne sais quel critique d’art de gauche bien connu (j’ai lu ça dans le Monde)… Ce qui sous-entend qu’elle ne s’intéresse pas à l’art dit contemporain parce que celui-ci est progressiste et fait partie intégrante de cette culture qui ne peut être que celle de la gauche, d’archi gauche, et des archi-riches collectionneurs.
Les artistes d’Aralya, tout comme ceux du nicolemuseum.fr, ne sont pas des artistes méritants le qualificatif « contemporains » selon les bien-pensants progressistes… Alors sont-ils pour autant de drouate ou d’archi-drouate ?
N.B. : l’embrouillaminis politico-esthétique monte en compacité avec l’adjonction au concepualo-bidulaire, d’une eco-responsabibité éthique, inclusive et durable du meilleur aloi.