On ne peut guère compter sur les religions, qui ont pourtant fait la cohésion des sociétés humaines, pour nous sortir de l’inquiétant désordre mondial actuel.
On ne peut guère compter non plus sur l‘art dit contemporain (image jointe de la pissoire de Marcel) qui, par sa charge de négativité, de débilité conceptualisante, d’atrocité mentale, de barbarie sur intellectualisée et de violence symbolique, ne fait que contribuer à l’avènement du grand effondrement qui s’annonce dans tous les domaines.
En dépit ce terrorisme artistique dit “postura”, fait encore des ravages dans la création française subventionnée (Je vous en prie, ne parlez pas de “terroristes”, mais plus modestement de “combattants” pour la libération de l’art), on doit pouvoir compter cependant, sur l’art que nous aimons, partageable au-delà des frontières culturelles, pour reconstruire le lien naturel entre les humains et restaurer le paisible sens commun.
Car il existe une fraternité naturelle entre les artistes du monde entier figurant dans Aralya , au-delà de leurs religions, de leur engagement politique, de leur orientation sexuelle, de leur appartenance sociale, de leur culture ancestrale et de la politique de leurs gouvernants.
En Une : Dessin Nicole Esterolle